Samedi 21 octobre 2006 à 0:29

La plainte consumée, violence du violon
Qui me hurle l'amour face au murmure acerbe
Le poison de mon corps coule comme la gerbe
Dégoulinant sur moi, je me sens comme thon.

Comme ton jouet courant, face à toi, vers celui
Qui a changé, muter pour donner l'ineffable
La bête asservie par le sexe délectable
Tu étais le nectar, délétère aujourd'hui.

L'huître visqueuse de mes muqueuses glaireuses
Echapée sans un mot se loge en ton visage.
La raison est partie quand tu m'as faite nuage.

Je suis l'acidité de ton âme fiévreuse,
Catin voulant l'oubli de l'horreur indicible
De ce jour où son coeur a été pris pour cible.




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