Sur ses joues de nacre s'étendaient les éphélides
Encardrées d'une soie de rubis s'envollant en corolles acides
Elles magnifiaient un regard sibyllin aux reflet d'acanthes nouvelles
Et semblait telle une immarescible jouvencelle,une enfant éternelle

Et dans sa robe pourpre, sa présence iridescente
Fourvoyant hommes et femmes devenait indécente
Elle avait beau s'éclipser dans sa longue cape Lavallière
La grâce de ses mouvement jamais ne la laissait ordinaire

On la poursuivi d'abord pour ses beau yeux
Attendant qu'elle offrit sa main au plus chanceux
Mais les logorrhées humains la priaient en vain

Et quand tous en eurent marre, se laissant aller au désespoir,
Leurs airs lubriques se transformèrent en haine sadique  
Et se fut dans les flammes que mourut la marial Angélique