Il y a ces jours heureux
Où l'eau coule sous les ponts
Et puis il y a ceux
Où le rat y répond
Ce sont ces jours où les rails
Brillante partition du soleil
Nous paraissent la vive entaille
D'une lame aux reflets vermeils
Il y a ces nuits peureuse
Où le manant vagabonde
Et puis il y a celles affreuses
Où le sang y abonde
Ce sont ces nuits où je m'ennuie
Fuyante passante sur les pavés
J'y vois défiler l'oubli
D'un récit mal-aimé.
Mardi 21 octobre 2008 à 0:56
Mardi 14 octobre 2008 à 22:30
Une terre bleue que je foule du bout du pied...
Une douceur verte et sucrée
Un marshmallow collé sur mon porte-folio
Pour le soleil il est encore trop tôt
Une hirondelle de la DDE, épique
Orange-mécanique, orange tragique
Et Noir-Corbeau qui toise
Du haut de son perchoir d'ardoises
Mes cheveux retenus par la brume
Du coton qui me vole dans les plumes
Je perds la raison... de ma folie bégnine
Etalée comme confiture sur tartine
Une douceur verte et sucrée
Un marshmallow collé sur mon porte-folio
Pour le soleil il est encore trop tôt
Une hirondelle de la DDE, épique
Orange-mécanique, orange tragique
Et Noir-Corbeau qui toise
Du haut de son perchoir d'ardoises
Mes cheveux retenus par la brume
Du coton qui me vole dans les plumes
Je perds la raison... de ma folie bégnine
Etalée comme confiture sur tartine