Au vent qui hurle dans mon coeur,
Aux chimères d'horreur qui pleurent,
Ma folie dit emmène-moi
Emmène-moi là où le froid
Brûle mes entrailles béantes.
Emmène-moi où l'arbre chante
La sombre symphonie lubrique,
L'histoire d'une sympathique
Catin dans le fond des abysses.
Ici la solitude bruisse
Et dehors l'échappatoire
La jeunesse au purgatoire
Les grands-mères dans l'enfer
N'oseront regretter la Terre.
Mardi 14 novembre 2006 à 21:34
Commentaires
Par Mardi 14 novembre 2006 à 21:51
le C'est tout con tout court tout beau
J'aime bien quand tu parles de chimeres et tout je trouve que c'est encore plus profond, grave, sombre
Il faut souvent revenir à l'essentiel pour transmettre le plus
c'est mon point de vue et mon unique don stylistique
j'aime ton écris et je sais que je n'aurais surement pas pu écrire la même chose
je reste donc admiratif de ton style ^^
Comme quoi on est 2 ^^
J'aime bien quand tu parles de chimeres et tout je trouve que c'est encore plus profond, grave, sombre
Il faut souvent revenir à l'essentiel pour transmettre le plus
c'est mon point de vue et mon unique don stylistique
j'aime ton écris et je sais que je n'aurais surement pas pu écrire la même chose
je reste donc admiratif de ton style ^^
Comme quoi on est 2 ^^
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j'aime surtt la fin "les jeunes au purgatoire" ^^
mais bon on y aura tous droit parait il