Lundi 21 août 2006 à 23:42

Ton sourire était éguisé comme la lune en son plus fin quartier. Tu me parlais de l'amour comme on parle d'une atrosité trop dure à supporter. Tu te taisais. Et moi je souriais. Je pensais : Ô L'Ange, dans la pureté de ta voix, tu nous emmène avec toi dans ce ciel si bleu, celui de tes yeux... Admiration lancinante ou envieuse maladive et contemplative. Ah tes envies vomitives ! Tu es trop paradoxale n'espère pas en ressortir moins sale me chuchottait le cher Bébé... Tu as déjà eu l'amour qui dure toujours, et alors maintenant tu es une écorchée ! dit le patin. Je ressortis des discussions de ma tête. Ton sourire était toujours là à demi caché par les ombres que tu aimais laisser sur ton visage. Il avait maintenant l'air tranchant et la blancheur de tes dents se reflettait avec la lune. Tu t'approchas de moi je crus au baiser que tu allais déposé, j'avais cru encore une fois en l'amour. Ton sourire était une arme qui fit couler toutes les larmes jusqu'au trépas de l'âme...

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