Mercredi 8 novembre 2006 à 16:40

L'ambroisie de ton corps

Saveur sucrée qui embaume

Et de ta bouche s'entame le psaume

Ton absence m'accable comme un mauvais sort

Ici-bas j'attends le moment où l'on dort

Mon esprit virevolte loin d'ici

Pétale de rose balotée dans l'infini

Tu vois ton absence me fait tord

Il fait si froid en mon âme

Que mes larmes sont de gèle

Et que je me sens frèle

Tes bras de fumée m'enflamment

Mais seulement dans mes rêves

Où ton feux n'est pas éteind

L'image de la chaleur s'acharne en vain

Mais c'est la sensation du froid qui me bat sans trève




Jeudi 2 novembre 2006 à 14:38

Un   grand   froid s'installait en moi.             
Les sangs glacés,
                                la chair de poule,
M'envahissaient comme une foule
Larmes             gelées             d'effroi

Pétrifiée moralement
                   Anéantie physiquement
Le froid s'étend
                                 Figeant le temps

Pourtant autour le soleil bouillonne
Le temps est accéléré
                                  Rythme effréné
C'est         l'amour       qui       étonne

Mais en mon coeur
                        Fanées sont les fleurs
L'automne a sonné
                               L'hiver va frapper

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